Voici l'objet :
Modélisation à base de tores, de cylindres, de surface plane et de simples lignes auxquelles on affecte le modificateur sweep (Max)
Pour ceux qui ne connaissent pas, voici un peu l'historique de cette légende Amérindienne.
Il semblerait que le capteur de rêves trouve son origine chez les indiens Ojibway et Chippewa. Les indiens suspendaient un capteur de rêves au berceau des enfants pour retenir dans ses fils tout ce qui pouvait être mauvais, tout comme la toile de l'araignée retient tout ce qui entre en contact avec elle.
C'est l'histoire de Asibikaashi (l' araignée) qui aida Wanabozhoo (le Grand-Esprit) à ramener Güzis (le Soleil) à son peuple. Asibikaashi construisait sa toile chaque nuit avant l'aube de façon à pouvoir capturer les premiers rayons du soleil. Si vous êtes debout à l'aube, regardez sa toile et vous verrez les rayons du soleil scintillant sur la rosée du matin. Asibikaashi prenait ainsi soin des enfants des hommes, tissant sa toile pour les protéger des mauvais rêves. Quand le peuple Ojibway se dispersa, Asibikaashi eut beaucoup de mal à tisser sa toile au-dessus de tous les berceaux, alors mères, soeurs et grands-mères apprirent elles aussi à tisser des toiles magiques pour protéger leurs enfants.. Elles confectionnèrent les cerceaux avec des baguettes de saule rouge et utilisèrent du tendon de cerf pour tisser la toile. Les capteurs de rêves avaient toujours une forme ronde qui représentait Güzis, le soleil. Sa toile pouvait retenir les cauchemars (ou bawedjigewin) ne laissant passer que les rêves. Vous remarquerez qu'il y a un petit trou au centre de la toile car c'est par là que les bons rêves passent. Les cauchemars quant à eux restent accrochés à la toile et disparaissent avec les premiers rayons du soleil. Traditionnellement aussi, on place une petite plume pour que celle-ci bouge dans l'air. Un bébé qui peut observer la danse de cette plume apprendra ainsi les mouvements de l'air.
Les pierres sur la toiles emprisonnent les mauvais rêves.
(Source internet : nativetech.org)